Les éditions Anamosa éditent à nouveau un petit livre, qui s’établit contre des idées préconçues et dangereuses. Il y a d’abord eu le livre de Sarah Mazouz et Éléonore Lépinard qui décrivait les assauts contre l’utilisation de l’intersectionnalité comme outil de recherche universitaire, puis celui de Pierre Tevianan et Jean-Charles Stevens qui luttait contre la sentence mortelle « On ne peut pas accueillir toute la misère du monde ». Thomas Hochmann se penche cette fois-ci sur l’instrumentalisation de la liberté d’expression permettant de promouvoir et de banaliser des discours de haine.
À suivre : https://laviesansprincipe.wordpress.com/2025/03/26/on-ne-peut-plus-rien-dire-thomas-hochmann/