Le texte d'accroche en quatrième de couverture…
Le choix des épigraphes…
Le prologue… la première partie et l'épilogue… promettaient tellement mieux : un grand voyage littéraire dans l'intériorité labyrinthique d'un l'homme prisonnier de lui-même, autrement dit d'un homme universel, d'un frère peut-être…
Mais d'Odyssée le voyage n'a que la longueur et la littérature s'est perdue en cours de route, égarant son lecteur très vite entre un imaginaire boursouflé et des grimaces typographiques assez agaçantes. L'intention d'un grand livre aura finalement été mieux construite que le livre lui-même, à qui manque l'écriture.