Le quatrième de couverture du livre était prometteur. Pleurer au supermarché s’avère être écrit par une autrice ayant une écriture assez redondante et pas franchement maîtrisée. Ce n’est pas que vous ez de mauvais moments à la lecture de cette autobiographie décalée, c’est que ses thèmes ( la relation avec la mère d’origine coréenne, la transmission de la gastronomie, la volonté de percer dans la musique) n’ont pas de variations significatives si ce n’est la maladie et la mort de la mère de Michelle Zauner. Certes, vous pouvez apprendre la constitution de certains plats coréens, vous immerger dans une culture donnée, comprendre certaines qualités familiales comme certains de ses travers, mais il manque une certaine adhésion au bout du compte.