Et toi, jeune psychanalyste:
Alors déjà, Freud a pondu sa pseudo-science au XIXe siècle, et toi, en 2025, tu es encore là à balancer des théories fumeuses sur les rêves de pénis et les désirs inconscients de coucher avec maman ? Sérieux ? Les neurosciences progressent, la psychologie cognitive fait des merveilles, et toi, tu continues à faire semblant d'écouter des patients en griffonnant des petits dessins de pénis dans ton carnet.
Tu fais genre "professionnel", mais ton boulot, c'est juste écouter des gens parler et leur dire "Hmm, et qu’est-ce que ça évoque pour vous ?" en facturant 100 balles la séance. Même Siri fait mieux que toi pour analyser les problèmes des gens – et au moins, lui, il est gratuit.
Et parlons de ta ion obsessionnelle pour Freud, ce vieux croulant cocaïnomane qui voyait du sexe partout. Mec, même un pot de fleurs, pour lui, c’était un symbole phallique. Tu fais quoi de tes week-ends ? Tu marches dans un tunnel et tu cries "OH MON DIEU, L’UTÉRUS DE MAMAN !!" ? Tu vois une tour Eiffel et tu baves en disant "Évidemment, un grand pénis dressé vers le ciel…" ?
Et Lacan, ton autre idole ? Le roi des phrases vides qui ne veulent rien dire. Il aurait pu vendre des NFT de ses textes tellement c’est de l’arnaque intellectuelle. "Le signifiant précède le signifié" – mais ferme-la, ça veut rien dire. On dirait un étudiant de philo sous acide qui essaie d’impressionner une meuf en soirée.
Mais le pire dans tout ça ? Tu t’accroches à ton délire comme une moule à son rocher. La psychologie moderne te démonte ? Tu t’en fous. On prouve scientifiquement que ton truc repose sur du vent ? "Ah mais c’est l’inconscient, tu peux pas comprendre…" Ferme-la, bien sûr que si, on comprend : c’est juste du baratin pour que tu continues à escroquer des patients paumés en leur vendant des interprétations aussi foireuses que tes références.
Bref, cher psychanalyste, si ton métier consistait vraiment à aider les gens, tu serais allé voir du côté des thérapies cognitives et comportementales, de la neuropsychologie ou même de la psychiatrie. Mais non, tu préfères rester dans ton délire de phrases alambiquées, de complexes improbables et d’analyses tirées par les cheveux, juste pour continuer à encaisser des billets pendant que ton patient se demande "Est-ce que je suis vraiment là pour résoudre mes problèmes ou juste pour financer son abonnement à ses bouquins de Freud ?"
Allez, retourne dans ta grotte symbolique et laisse les vrais psys bosser.