Je suis un énorme fan de son père, John Fante, et j'avais hâte de découvrir si l'infini talent de son père s'est transmis à son fils.
Hélas, pour ma part, la réponse est plutôt non. Dan Fante tient davantage de Bukowski que de son père. Le style "alcoolo-dépressif" est parfaitement maîtrisé (en deçà de Bukowski ceci dit), mais il n'a pas la finesse et l'humour de son père.
Je base, cependant, mon avis que sur ce bouquin, je n'ai rien lu encore de lui. Aussi, vais-je m'y atteler.
Créée
le 18 oct. 2018
Critique lue 176 fois
Encore un bouquin américain, encore une descente aux enfers, encore des perversions et des addictions. Après Easton Ellis (Moins que zéro & Suites impériales) que je n'ai pas aimé, et Hubert Selby...
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le 2 mai 2011
1 j'aime
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le 18 oct. 2018
Un livre qui se lit aussi vite que file son histoire. Dan Fante nous raconte la mort de son père, l'immense John Fante. Il nous parle tour à tour de souf, de deuil, d'alcool et de sexe...
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le 19 janv. 2018
Ce roman aborde un sujet qui peut-être tabou pour certaines personnes. Werber réussit néanmoins le tour de force de, justement, rendre le sujet plus accessible. L'histoire est bien pensée et il y a...
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le 11 avr. 2017
9 j'aime
Avant toute chose, je risque de spoiler pas mal, donc pour les personnes qui n'ont pas encore vu les 13 premiers épisodes de la première saison, soyez vigilants. On m'a chaudement recommandé cette...
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le 6 févr. 2018
8 j'aime
2
Il y a quelques années, j’ai commencé à regarder la série qui suscitait un certain engouement à l’époque. D’aucuns la qualifiaient comme « exceptionnelle », « fascinante » ou encore « excellente »...
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le 21 oct. 2020
8 j'aime
3
