Après avoir évoqué des figures «minuscules» dans son premier ouvrage, le facteur transfiguré par Van Gogh dans «Vie de Joseph Roulin», Pierre Michon aborde dans ce cinquième livre une figure sacrée de la littérature, Arthur Rimbaud.
Publié en 1991 aux éditions Gallimard, année du centenaire de la disparition d’Arthur Rimbaud, ce récit a la profondeur d’un abîme insondable, que Pierre Michon désigne dans «Le roi vient quand il veut» comme un point aveugle, une tension intérieure qui idolâtre la littérature tout en doutant absolument d’elle, en la haïssant.
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