Etre vivant

Etre vivant, revivre…
Chronique d'un retour à la vie grâce à la marche et à l'isolement.


Sylvain Tesson, habitué des projets un peu extrêmes, diminué par une chute assez grave) se lance dans le projet de traverser la par les chemins noirs (les plus petits chemins figurants sur les cartes au 1/25000e).
Il nous raconte la vitalité qui réinvestit son corps, sa réflexion sur la géographie et son évolution, éventuellement une forme de résurrection (j'exagère ?).
Il n'est pas encore totalement remis mais sa plume est affutée et sa culture assez grande.
Un bon moment de lecture intelligente.

9
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.

Créée

le 16 janv. 2017

Critique lue 331 fois

1 j'aime

borborigm

Écrit par

Critique lue 331 fois

1

D'autres avis sur Sur les chemins noirs

Amère déception

Après sa chute d'un toit, Sylvain Tesson est esquinté, défiguré, affaibli. Il décide de traverser la à pied pour se requinquer. Son itinéraire devra er le plus possible par les "chemins...

Par

le 22 mars 2017

23 j'aime

3

Marche à l'ombre

Après avoir planté son bivouac dans l'immensité de l'Extrême-Orient, l'ami Tesson est littéralement tombé sur la tête. L'abus de petite eau ne faisant pas le moine, pirouette-cacahuète, c'est la...

le 22 oct. 2016

18 j'aime

9

Un homme au milieu des ruines

J'ai aimé suivre Sylvain Tesson dans son périple reconstructeur ; j'ai aimé sa volonté farouche de s'échapper autant en lui même que sur les chemins noirs ; j'ai aimé ses diverses réflexions...

Par

le 4 août 2017

9 j'aime

Du même critique

Critique de Burn After Reading par borborigm

De l'incompétence élevée au rang d'Art... J'entend dire ça et là que c'est un mauvais film des frères Coen, moi j'aime bien les Coen "mineurs". Sous l'apparence d'une comédie assez banale ils...

Par

le 27 avr. 2011

6 j'aime

Critique de Vingt ans après par borborigm

Comment faire une bonne suite aux trois mousquetaires sans redite ? Avec vingt ans après on a la réponse. Totalement différent, sans concession, plus noir aussi. Une réussite totale, un grand moment...

Par

le 19 juin 2011

5 j'aime

Critique de Tokyo Godfathers par borborigm

Il faut voir Tokyo Godfathers ! Quand l'anime rencontre Lubitsch, ça donne cette pépite de Satoshi Kon. Personnages, rythme, animation... tout les ingrédients sont en place, à la juste mesure et la...

Par

le 24 sept. 2010

5 j'aime