350 pages pour si peu de contenu.
Bien peu de profondeur dans les portraits brossés (pour un ouvrage écrit par un psy !?), beaucoup de descriptions inutiles pour mimer un semblant de littérature, une déception teintée de consternation devant une fin convenue, prévisible et décevante.
Que retiendrai-je de Swap ? Une narration laborieuse bâtie autour d'une très mince idée des traumatismes de l'enfance et de cruauté des circonstances. Un prétendu polar prétexte à quelques traits d'humour trop rares pour nous faire er les atermoiements puériles et narcissiques d'Harvey ou les insipides rebondissements de la vie du couple Cooper.
Swaper ce roman avec un autre qui en vale véritablement le coup.