Pas un personnage pour rattraper l’autre. Tous désincarnés, antipathiques et purement théoriques, ils ne vivent que pour et par une idée, sauf le personnage principal, qui lui aura le privilège de er par deux idées, basculant de l’une à l’autre, d’une femme à l’autre, d’une identité à l’autre, d’une civilisation à l’autre. L’auteur souhaite peut-être réveiller la conscience du lecteur en l’invitant à jeter le livre par la fenêtre, auquel cas c’est réussi, on en viendrait presque à se dire qu’effectivement toute littérature est vaine, dans ce monde de guerre.