Un double littéraire dans lequel on se perd. Pourquoi un prix Goncourt pour ce livre ? Un livre bien écrit mais quelle déception de lecture. De nombreuses parenthèses très élitistes, très parisiennes et très ennuyeuses. Une seule phrase retenue : "La mort des autres nous conforte dans l'idée que notre vie est précieuse, importante, essentielle, unique. Nos morts valorisent notre vie." Et la définition de ce verbe qui m'était inconnu "Plumeter : prendre des notes, écrire un brouillon."
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le 2 févr. 2025
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'Trois jours chez ma mère', roman de François WEYERGANS (Ed. Grasset,2005) est un de ces livres pour lesquels la quatrième de couverture n'est que mensonge, miroir aux alouettes! On y annonce que...
le 15 nov. 2015
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Ça part dans tous les sens. On arrive même à quatre récits dans le récit. C'est bordélique et foutraque, mais c'est ça qui fait tout le sel du livre. La plume s'amuse, erre, divague mais ne se perd...
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le 16 juil. 2012
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Ouf !... enfin terminé ! Comment suis-je arrivée au bout, et surtout : pourquoi me suis-je forcée à aller jusqu'au bout, j'avoue que je ne sais pas ! L'auteur se livre à une introspection...
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le 13 nov. 2011
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3
Un roman optimiste, utopique, érudit mais accessible et captivant. Un roman qui ne tombe pas dans la naïveté, dont on sort à regret de la lecture qui nous fait rêver d'une réalité heureuse et...
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le 11 nov. 2023
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Court roman à la langue savoureuse. Un regard sur la nature en vivant seule dans une cabane abandonnée au Canada. Solitude / subsister / autarcie / froid. Une lecture plaisant mais qui semble...
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le 18 sept. 2023
2 j'aime
1
Une écriture qui rend une histoire courante, la vie d'un homme avec son chien, oassionnante. L'auteur raconte avec délicatesse l'amour profond qui le lie à son chien. Un récit autobiographique plein...
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le 1 juil. 2023
2 j'aime
