Lors de mon dernier téléchargement (Ville nouvelle) mon fournisseur proposait Un avion sans elle pour un prix dérisoire… Je me suis laissé tenter.
En effet, quand ce livre est sorti j’avais déjà lu d’autres Bussi avec une certaine jubilation. Comme, par exemple, dans « On la trouvait plutôt jolie » où j’avais aimé le suspense et la façon dont le sujet était traité. Et donc l’Avion sans elle avait fait pas mal de bruit, en décollant, ce qui m’avait donné des envies de prendre l’air…
Eh bien, d’accord avec François Constant, il y a tout, dans ce bouquin pour faire un bon livre… Michel Bussi en a fait un torchon ennuyeux. Je me rase ferme, arrivé péniblement à la cent-cinquantième page. Je n’ai plus le temps de continuer à m’enquiquiner, à tourner en rond avec de grands effets de manches… je laisse la baudruche se gonfler toute seule, dans le fond de mon tiroir numérique jusqu’à ce que je décide de l’envoyer en corbeille d’un magistral CLIC assassin.
Adieu donc, et ons à autre chose…