Les premières pages de ce roman nous plonge dans un état de tension et d’attention assez incroyable. En quelques instants, le lecteur se retrouve dans la tête de Madeline et dans une situation dérangeante avec un autre personnage. Ces deux facteurs sont essentiels pour la construction du livre car nous ne quittons jamais l’esprit de l’adolescente, personnage qui se sent en léger décalage avec les autres. Cet isolement psychologique et cet éloignement relationnel imprègnent la lecture très vite et Emily Fridlund parvient à tenir ces fils narratifs tout au long de son roman.
Pour en savoir plus, lisez ma critique sur mon blog Le tourneur de pages https://tourneurdepages.wordpress.com/2017/11/06/une-histoire-de-loups/