C’est bon, faut pas s’appeler Beethoven pour se rendre compte que cette chanson c’est de la chiasse auditive. Déjà sa voix de toxico, j’aime pas, enfin, mon avis est sûrement faussé par les paroles Ô combien HYPOCRITES. En plus, au début de la chanson, j’entendais toujours « Donnez-moi un clitoris je n'en veux pas ! » au lieu de « Donnez-moi une suite au Ritz, je n'en veux pas ! » et je me disais que son problème venait peut-être de là. Enfin, ons.
Il ne faut pas écrire mille lignes sur cette daube, on comprend directement que c’est la typique fille moche qui veut séduire la populace avec des slogans de hippie-anti-capitaliste-anti-pétasse-anti-tout-ce-qui-est-mal-vu-quoi.
Et maintenant qu’elle est disque de diamant, elle en fait quoi de tout son fric ? Moi je me le demande bien. Vu son parcours, elle a dû trimer pour en arriver là, à ce stade d’artiste ultra-commercial. C’est pas comme si c’était une clocharde dans un métro qui a été révélée par un petit producteur. Son fric elle l’a désiré, et maintenant qu’elle l’a et qu’elle est heureuse de tout son pognon et des limousines et de je ne sais encore quel cliché de la société de consommation, qu’elle ne vienne pas nous casser les oreilles avec ses « l’argent ne fais pas le bonheur, vous avez vu comment je suis originale en disant ça ? Non mais parce que personne ne pense comme moi dans le monde de la musique, je suis unique, une vraie communiste en Gucci, très crédible en plus ».
C’est marrant qu’un cliché humain nous demande à coup de beuglante de découvrir sa liberté, et d’oublier tous nos clichés, etc., etc., blablabla,
« Finie l'hypocrisie moi j'me casse de là ! », commence déjà par-là, Zaz, s’il te plait, casse-toi de nos ondes radio.