La mélodie stratosphérique du bonheur triste (nostalgie)

Et dire que cette chanson ne figure sur aucun album des Beatles à la base (écartée de l'album Sergent Pepper au même titre qu'un autre titre stratosphérique Penny Lane???!!!), c'est dire la supériorité des Beatles (Mick Jagger:" Les Beatles sont hors d'atteinte tellement ils sont superieurs aux autres groupes") en 1967. Chanson sur le souvenir d'enfance de John Lennon (D'ailleurs je l'associe souvent à Julia une autre chanson de Lennon sur le souvenir de sa maman que l'on retrouve sur l'album blanc un an plus tard,) elle est révolutionnaire en soi. C'est comme si la folie de Tomorrow never knows de l'album revolver avait épousé les structures pop d'une chanson pour en tirer la quintessence et une structure inégalée. La version Mono ( obligatoire tellement la version stéréo est mal agencé et inable) est un bijou de songwriting, d'écriture. Que faire après ce sommet de la pop? Le plus drôle , c'est qu'à l'époque ce single sortie avant sergent pepper est le premier single des Beatles qui ne termine pas n°1 aux Etats-unis ( il fini deuxième avec Penny Lane). Cette chanson même si elle est à la base le fruit de John Lennon sera l'une des dernières compostions du duo magique Lennon-Maccartney. D'ailleurs je l'associe souvent à Julia une autre chanson de Lennon que l'on retrouve sur l'abum blanc un an plus tard. Cette chanson enfin fait partie de mon trio de tête des chansons des Beatles avec A Day In The Life et I am The Walrus.