Beauty and the Beast par Roland Comte
J’ai commencé à regarder cette série sans grande conviction car je n’avais pas grand-chose à me mettre sous la dent. Je n’ai pas été immédiatement emballé, d'une part peut-être parce que j’avais du mal à imaginer Kristin Kreuk dans un autre rôle que celui de Lana Lang, la petite amie de Clark Kent, qu’elle avait incarné pendant 8 saisons dans la série Smallville, mais aussi parce que je suis lassé des séries policières.
Beauty and the Beast rappelle par certains côtés la série de science-fiction Dark Angel dont l’héroïne, Max, a elle aussi été manipulée génétiquement par une organisation secrète appelée Manticore pour en faire un super-soldat. Mais la ressemblance s’arrête là puisque Dark Angel se déroule dans une société post apocalyptique dirigée par un régime totalitaire alors que Beauty and the Beast se e de nos jours à New York. En outre, cette série, que j'avais crue initialement être une série policière classique, est en réalité plutôt une série de science-fiction, ou, en tout cas, elle s'en rapproche, par son côté X-Files avec, en arrière-plan, l'omniprésence d'agences gouvernementales aux visées plus ou moins illégales, et la théorie du complot.