Alors que tout espoir semblé définitivement perdu pour nos héros, c'est alors que tel un Gandalf salvateur, c'est le mage Té-Hém-Sait qui décide de laisser une chance à nos gladiateurs du courage pour enfin, donné une conclusion à la hauteur de la saga et envisagé un devenir pour nos héros. Après une troisième odyssée des plus éprouvante, ont retrouve donc nos héros là où ont les avait laissé : Fourbus par une vie de stupre et de violence mais bien décidés à reprendre le cours d'une vie normale et peut être s'absoudre de tout leurs excès. Nos héros sont donc dispersés un peu partout dans les landes de ce monde sans pitié mais l'adversité va les forcés à se réunir de nouveau pour affronter de terrible menaces. Le cotés épique n'est donc pas en reste, avec une prépondérance et une complaisance dans les actes violent, bien loin de l'héroïsme du début, désormais c'est chacun pour soit et que le plus fort survive... Ont ne peut que cautionner ce final impromptu, tant les vrais héros ont besoin de s'affirmer dans la violence pour regagner leur statut, celui d'icônes populaire, symbole de vie mais aussi de mort...
Avec cet ultime chapitre, c'est une page d'histoire de la télévision française qui se tournent et qui, tel Le Chevalier de Pardaillec, nous laisses à tous cette sensation d'avoir assisté à un grand spectacle qui marque une vie de téléspectateur et laisse des notions qui reste durablement ancré dans notre esprit.
Merci à Sir Porry d'avoir créé cette page d'histoire télévisuel et, qui tel un Tolkien des temps moderne, de nous avoir appris ce que sont les vrais valeurs telle qu'elles sont dans le monde réel, encore merci à vous, ô grand monsieur, chevalier de l'AB ! Nous vous serons éternellement reconnaissant.