Girls just want to have fun... Of the dead.

Première chose à dire, le synopsis de la série est faux, et c'est tant mieux.

Seconde chose, c'est que j'ai faillit arrêter de regarder à l'épisode 2, et ensuite 3, et également 4 pour qu'enfin, le déclic arrive à l'épisode 5.

Ensuite, c'est une histoire d'amour entre moi et la double équipe d'actrices.

Le casting est exceptionnel, que ce soit pour les jeunes, ou pour les plus âgées.

Bravo pour le choix, elles sont toutes à 110%.

Je n'oublie pas les quelques acteurs masculins, et en particulier le mari de Shauna.

Je ne vais pas dire grand chose de la série et de son histoire, car elle se vit, et c'est seulement en la vivant que l'on comprend le degrés de folie sans limite qui s'empare petit à petit de ce groupe.

Par contre, je peux vous assurer que la plupart des critiques négatives, voir certaines plus positives, on été écrites après deux ou trois épisodes.

On lit souvent que c'est un mélange de "X-files" et de "Lost". Faut vraiment de pas avoir regarder la série pour sortir une telle connerie. Rien ne rappellera "Lost", si ce n'est un crash d'avion, et ça s'arrête là.

Quant à "X-files", alors là, c'est stratosphérique de débilité.

Même le fait de rappeler l'histoire des survivants des Andes est assez idiot, ce serait comme dire que "E.T.", c'est pareil que "Independance day", après tout, c'est des extras terrestres.

"Sa majesté des mouches" est certainement la seule comparaison possible avec la série.

Pour que vous soyez sûr que les critiques sont écrites avant la fin de la série, c'est que le dernier épisode a été diffusé aujourd'hui!! (12 avril 2025).

Comment juger une œuvre alors même qu'elle se déroule, en plus en crescendo.

Pour une fois, le final est réussi et ne frustre pas.

La série traite surtout de se qui rapproche les gens qui vivent une expérience hors du commun et mortelle, de la folie, de comment retourner à une vie normale.

Il est évident qu'on peut pinailler sur comment ceci ou comment cela, mais perso, rien ne m'a sorti de cette expérience du é, ni de l'histoire du présent, qui sont toutes les deux complètement dingues.

C'est avec regret que je les quitte, même si elles sont effrayantes.