Les chroniques de Sioban.

Sans ma découverte récente de la saga "Thorgal", il est fort probable que je ne me serais jamais arrêté devant la "Complainte des Landes Perdues", série en trois cycles, chacune des périodes étant dirigée par une équipe différente.

Ce premier tome ouvre le cycle de Sioban, composé de quatre épisodes scénarisés par Jean Dufaux et mis en images par Grzegorz Rosinski. Rien de particulièrement novateur ici, mélange sympathique d'aventure chevaleresque et d'heroïc-fantasy, avec ce qu'il faut de sang et d'héroïnes dévêtues.

Dufaux et Rosinski placent les personnages et le décor, laissant doucement entrevoir des enjeux intéressants qui seront probablement plus développés dans les prochains volumes. On retiendra principalement de ce tome inaugural le superbe travail graphique de Grzegorz Rosinski, forcément à l'aise dans cet univers.
6
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Bulles découvertes en 2013.

Créée

le 5 mai 2013

Critique lue 480 fois

6 j'aime

Gand-Alf

Écrit par

Critique lue 480 fois

6

D'autres avis sur Sioban - Complainte des Landes perdues, tome 1

Que reviennent les couleurs de la vie… Les couleurs, pas le cœur !

Ce tome est le premier d’une tétralogie qui constitue le troisième cycle de la série de La complainte des landes perdues, les autres cycles étant parus après celui-ci. Son édition originale date de...

Par

il y a 7 jours

1 j'aime

Du même critique

Enter the void.

On ne va pas se mentir, "Gravity" n'est en aucun cas la petite révolution vendue par des pseudo-journalistes en quête désespérée de succès populaire et ne cherche de toute façon à aucun moment à...

Par

le 27 oct. 2013

269 j'aime

36

Demande à la poussière.

Les comparaisons systématiques avec "2001" dès qu'un film se déroule dans l'espace ayant tendance à me pomper l'ozone, je ne citerais à aucun moment l'oeuvre intouchable de Stanley Kubrick, la...

Par

le 16 nov. 2014

252 j'aime

14

Mad Max - Fury Road
10

De bruit et de fureur.

Il y a maintenant trente six ans, George Miller apportait un sacré vent de fraîcheur au sein de la série B avec une production aussi modeste que fracassante. Peu après, adoubé par Hollywood, le...

Par

le 17 mai 2015

212 j'aime

20