The Brutalist : Encore un film récompensé aux Oscars 2025, l’histoire de László, un architecte juif qui tente sa chance aux États-Unis après sa sortie d’un camp de concentration. Avec un tel titre, je pensais que l’histoire allait se focaliser un peu sur l’architecture et le brutalisme, mais finalement l’histoire se concentre plus sur le personnage de László. Le film m’a plu mais qu’est-ce qu’il est long… Je l’ai regardé en 3 fois puisqu’il dure tout de même 3h35 !
Créée
le 13 avr. 2025
Modifiée
le 13 avr. 2025
Critique lue 5 fois
Ce film, à peine sorti de la salle de montage, a reçu une avalanche d'éloges, de superlatifs, de comparaisons glorieuses aux plus grands chefs-d'œuvre incontestés du septième art, tout en ayant le...
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le 13 févr. 2025
113 j'aime
19
Accompagné d'une bande annonce grandiloquente, encensé avant même sa sortie par une presse quasi unanime, "The brutalist" se présente d'emblée comme l'œuvre d’un cinéaste malin, notamment par son...
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le 10 févr. 2025
103 j'aime
31
Comme beaucoup, je pense, j’ai été attiré par la proposition singulière faite par ce The Brutalist. Un film de plus de 3h30 avec entracte, tourné en VistaVision, le tout en se référant directement...
le 13 févr. 2025
71 j'aime
8
Critique complèete : https://distraction.emilieolivier.com/le-livre-de-la-sage-femme-sans-nom-t1-meg-elison-mon-avis/Ce livre est anxiogène, c’est l’histoire d’une épidémie bien plus terrible que la...
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le 21 avr. 2025
La Résidence : Un Hercule Poirot version femme noire. Sur le papier cela avait l’air très alléchant, finalement j’ai abandonné au 4ème épisode sur 8. Une intrigue qui n’avance pas … quel ennui !
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le 13 avr. 2025
Adolescence : C’est l’histoire d’un féminicide où un adolescent tue une camarade de classe. J’ai cédé à la hype en regardant cette série que j’ai détesté... je ne comprends pas l'engouement !
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le 13 avr. 2025
