Simi Burton autant dans sa direction artistique que dans ses choix musicaux, si le jeu parait intéressant sur le papier, autant dans sa progression que dans sa mécanique de jeu, faut bien dire que ça semble marcher un petit temps, juste avant de devenir assez fortement pénible à vivre.
Je vais pas m'étendre sur le côté "cassé" des cinématiques, la grossièreté des déplacements, les environnements similaires, les PNJ identiques, les énigmes proche de la blague à la pause café, et le manque de profondeur des phases de combat (un l'enfer, longs et sans la moindre once de stimulation), car tous ces points semblent s'imbriquer dans le côté tordu de l'atmosphère, mais je me demande bien si c'était obligé de rendre le concept aussi bavard, mais alors bavaaaaard de la vie, bavaaaaard sa mère et tout ce qui va avec.
Merci les choix de dialogues et toutes ces conversations infernales, sans compter celles avec ton propre copain qui parle même pas la langue (ihcoz zhfdqzhlfh ?).
Reste un peu de sympathie pour tout ce qui tourne autour du narrateur, mais même en essayant de tout accepter, j'ai subi les dernières heures car rien ne me donnait envi de terminer le jeu.
Faut vraiment chercher le plaisir là hein.