Coldheart canyon est un ouvrage de Clive Barker qui démontre encore une fois toute la maîtrise de l'auteur dans l'artisanat de l'horreur. Après un prologue d'un pouvoir évocateur dingue, il tisse un récit assez classique à la croisée de ses obsessions : les figures tutélaires de l'horreur sont présentes mais Barker prend le soin de légèrement décaler son propos, afin de leur conférer une touche personnelle. En effet, le récit introduit un nombre croissant de dangers et d'ennemis, a priori disparates. Pourtant, le patchwork fonctionne et la patte de l'auteur rend le tout finalement assez fluide. La violence est physique et psychologique, tour à tour démonstrative, malsaine, doloriste. Mis à part un bémol très personnel concernant les 100 dernières pages, Coldheart canyon constitue une réussite solide d'un auteur essentiel de l'horreur qui a éprouvé ses recettes avec beaucoup de métier.
Créée
le 9 août 2020
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Tout commence dans les années 20 quand une actrice d'origine roumaine qui est devenue une star d'Hollywood décide de revenir sur les lieux de son enfance. Son agent cherche ce qu'il pourrait bien...
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le 8 nov. 2010
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1
Le roman se déroule en plusieurs parties, chacune se finissant. On ressent le fait qu'à la base Barker voulait faire un livre beaucoup plus court mais que les choses ont pris de l'ampleur. Et ce...
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le 19 févr. 2017
Bon. Je l'ai fini, en diagonale... Je dois avouer qu'après l'excellent "Le royaume des devins" (dont le thème est, quelque part, à peu près le même, mais traité de façon géniale), je suis très déçue...
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le 6 nov. 2014
Je ne saurai dire à quel point ce livre m'est important. La période du kampuchea démocratique est un sujet qui me ionne car elle concentre toutes les folies du 20eme siècle en un lieu, le...
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le 12 août 2020
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Coldheart canyon est un ouvrage de Clive Barker qui démontre encore une fois toute la maîtrise de l'auteur dans l'artisanat de l'horreur. Après un prologue d'un pouvoir évocateur dingue, il tisse un...
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le 9 août 2020
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Quelques spoilers légers émaillent cette critique, à peine plus que la 4eme de couverture.Piégé par mes propres représentations. Voila ce que je me suis dit au bout de 50 pages. Un livre de...
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le 9 août 2020
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