Longs-métrages découverts en 2025

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🔽 Janvier 🔽

Vu le 1ᵉʳ janvier.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/trap/critique/308770115

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Vu le 4 janvier.

Daaaaaalí ! m'avait déçu car je trouvais le film réussi à moitié : très bon au niveau du fond, avec un propos pertinent, beaucoup moins formellement parlant ( https://senscritique.sitesdebloques.info/liste/mon_annee_2024_en_films_liste_commentee/3712435?page=4 )… eh bien pour Le Deuxième Acte, je serais tenté de dire que c'est l'inverse.
Comme d'habitude chez Dupieux, l'intro est réussie, avec ce concept et ce brisage du quatrième mur qui n'est pas sans rappeler son Nonfilm. Les blagues sont grossières, pas très subtiles, mais elles fonctionnent… et je crois que j'attends plus que simplement des blagues qui fonctionnent de la part d'un Dupieux. En effet, Le Deuxième Acte ne surprend pas trop. Du moment qu'on connait le bonhomme derrière la caméra, on sait où il va nous mener. Pire, le fait de renvoyer les personnages du film à ce qu'ils sont dans la réalité, aux critiques qu'on leur fait, vire même au cringe lorsqu'on se retrouve devant la scène dans les toilettes avec Léa Seydoux et Raphaël Quenard.
Certains ont critiqué Dupieux car ce serait un réac', un boomer. Je ne suis pas d'accord avec cette critique. En fait, j'ai plus eu l'impression de regarder un film écrit par un ado qui se voudrait edgy, qui voudrait se montrer grossier : c'est lourd plus que transgressif, ridicule plus qu'outrancier.
Reste la surprise Manuel Guillot ainsi que la fin, très Dupieusesque.
Ça reste un film plutôt bon certes, mais force est de constater que Le Deuxième Acte aurait gagné à er la deuxième vitesse. Plus sérieusement, autant j'apprécie toujours beaucoup Dupieux, autant entre Le Deuxième Acte et Daaaaaalí !, le bonhomme commence sérieusement à me décevoir.

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Vu le 4 janvier.

Ce que j'ire le plus dans le cinéma danois, c'est son habileté à nous transmettre une certaine noirceur, une dose de fatalisme, sans pour autant tout le temps en faire des caisses. C'est bien évidement l'une des forces de Vogter, traduit en français par cet incompréhensible titre qu'est Sons (quitte à traduire un titre, autant le traduire en français non ? … et autant faire en sorte que ça corresponde avec l'original, ce serait mieux, pas vrai ?). Bref, Vogter est le genre de film qui brasse plusieurs thématiques, qui posent de nombreuses questions, sans pour autant donner de réponses claires, nettes et précises aux spectateurs : le manque de personnel, le privilège de l'uniforme, la couverture par la hiérarchie, et surtout, le rôle de la justice restaurative, et le rapport que peuvent avoir les victimes avec cette dernière.
Encore une fois, l'une des forces du cinéma danois est son fatalisme : d'un côté Vogter nous montre une Eva (Sidse Babett Knudsen) qui est arrivée à nouer de vraies relations avec d'autres détenus (des « détenus fragiles »), qui s'est attachée à eux, leur témoignant du respect, et inversement ; de l'autre, le film nous fait très clairement que Mikkel (Sebastian Bull) ne peut être sauvé, qu'on ne peut pas sauver quelqu'un qui n'en a pas envie, et qu'on ne pourra jamais faire payer à certaines personnes la somme que l'on souhaite.

Niveau mise en scène, pas de grosse surprise ici. Univers carcéral oblige, on retrouve un classique 4/3 au niveau du format, ainsi qu'un ton plutôt froid. Sans pour autant me montrer caustique, Vogter n'est pas loin d'avoir la réal' d'un film français. Ça n'empêche pas le long d'avoir quelques plans bien trouvés, ainsi qu'une belle photographie, opérée par un Jasper Spanning qui était déjà là pour The Guilty.
Bien qu'irréprochable sur de nombreux points, Vogter n'est pas des plus originales, c'est peut-être son plus grand défaut. Reste que je n'ai pas é un mauvais moment devant ce second long-métrage de Gustav Möller. Eh bordel ! Depuis le temps, il faudrait vraiment que je mate The Guilty moi !

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Vu le 10 janvier.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/the_northman/critique/274939080

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Vu le 18 janvier.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/a_la_recherche_du_bonheur/critique/297586711

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Vu le 26 janvier.

La force du cinéma danois : radical sans tomber dans l'exagération, en dit beaucoup sans rien montrer, ne prend pas son spectateur pour un con… ce The Guilty ayant, de surcroit, un concept unique, que le réalisateur conserve précieusement jusqu'au bout, tout en arrivant curieusement à jouer sur les décors. C'est un peu « téléphoné » à la limite (lol) , un peu facile par moment. M'enfin, ça reste un excellent film que je ne peux que recommander, surtout si comme moi, vous êtes prêt à pardonner certains défauts du moment que le concept de base fonctionne. Je note au age que Gustav Möller apprécie nous présenter des personnages incarnant l'autorité, ab de leur pouvoir.

Par contre, cette fois-ci, contrairement à l'effroyable Speak no Evil vu l'année dernière, ne comptez pas sur moi pour voir le remake américain… Ah ! Non non non non non non ! Plutôt crever !

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🔽 Février 🔽

Vu le 1ᵉʳ février.

Un très grand film réalisé par un très grand monsieur, pour une adaptation toute aussi libre que fidèle à l'œuvre de Kafka.
(et oui, étant donné qu'il y a trop de trucs à dire sur ce film, tout ayant été dit à son sujet, et surtout, ayant la flemme de rédiger une critique à son sujet, il faudra se contenter de ses 2 pauvres, devenues 5, lignes).

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Vu le 2 février.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/les_petits_ruisseaux/critique/316634900

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Vu le 2 février.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/sound_of_freedom/critique/291562138

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Vu le 10 février.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/les_pionniers_de_la_western_union/critique/294198601

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Vu le 16 février.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/il_etait_temps/critique/228534412

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Vu le 17 février.

Une version « moderne » des Perses d'Eschyle, qui s'éloigne des nombreuses règles du théâtre grec du Vᵉ siècle, ne serait-ce que pour l'utilisation d'instruments, mais proche au niveau du texte : une adaptation complémentaire à la lecture en somme… et à vrai dire, heureusement que je l'avais lu juste avant, car j'ai très souvent eu du mal à comprendre les paroles (en plus, pas de chance, la version présente sur l'INA est non sous-titrée).
On sait que c'est du théâtre, parce que ça n'a beau durer qu'un peu plus d'une heure, on finit par se faire chier. Plus sérieusement, l'adaptation de Jean Prat souffre d'osciller entre phases de parlotes un peu chiantes, statiques, mais compréhensibles au niveau du texte (bref, un côté trop littéral d'une part), et de ages dans lesquels le chœur s'enflamme, cependant bien moins compréhensibles au niveau du texte, mais dans lesquels, encore aujourd'hui, on se sentirait presque écraser en tant que spectateur, les décors aidant : des ages durant lesquels les côtés dramatique et solennelle de l'œuvre se font pleinement ressentir.
Curieux d'imaginer ce que le petit garçon que j'ai été, aurait pensé d'un tel programme à une époque où rien qu'imaginer le nombre de chaînes présentes aujourd'hui sur la TNT résultait du fantasme.

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Vu le 22 février.

Je dois avouer que j'en suis ressorti agréablement surpris. Autant j'apprécie Artus, autant je n'aurais pas été étonné de tomber devant un film avec un humour bien lourdingue, bien formaté comme il se doit. Le film est drôle, feel good, utile même (quoi que ça veuille dire) ; on sent l'inspiration Nakache et Tolédano (pas certains que ce soit une qualité).
Alors, forcément, on pourrait critiquer la mise en scène assez plate, et le fait que, bien que ce soit drôle, ce ne sera pas le film comique de la décennie, reste que les efforts qui ont dû être fournis, ne serait-ce que pour faire dire la bonne phrase aux acteurs, pour leur faire faire ce qui était prévu qu'ils fassent, n'a clairement pas été facile.
J'ose vraiment espérer que le pari d'Artus sera réussi, que ce film va enfin permettre que le sujet du handicap soit traité avec plus de sérieux en … il en a clairement besoin.

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Vu le 22 février.

Malheureusement, la plus grosse qualité de Section spéciale, sa reconstitution de faits réels, est aussi devenu son plus gros défaut. Je ne minimise pas l'impact qu'a pu avoir le film à l'époque de sa sortie, seulement 30 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale… reste que vu aujourd'hui, après toutes ses productions, ne serait-ce qu'audiovisuelles, centrée sur la collaboration, Section spéciale n'a plus l'effet coup de poing escompté. Parce que, malheureusement encore une fois, le fait d'être fidèle à la réalité, fait que ce Section spéciale parle beaucoup… peut-être trop en fait, au point de nuire au rythme du film. Preuve qu'on ne peut allier fidélité historique et cinéma ? Peut-être.
Tout ça ne fait pas de ce long de Costa-Gavras un film qui serait devenu mauvais avec le temps, loin de là. Le côté « documentaire » fait que cette œuvre reste pertinente, ne serait-ce que pour rappeler que les autorités françaises ont activement collaboré, et non sous la contrainte, avec le germain. Et puis bordel ! Quelle brochette d'acteurs ! Michael Lonsdale, Claude Piéplu, Jacques Perrin, Michel Galabru, Jean Bouise, Bruno Cremer, Yves Robert… il faut habituellement attendre les grosses productions familiales du type Astérix pour avoir droit à un casting aussi prestigieux.
Reste que des six films que j'ai vus du réalisateur pour le moment, Section spéciale est sans nul doute celui que je considère comme étant son plus faible.

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Vu le 25 février.

Ça faisait un long moment que je n'avais pas découvert un nouveau Disney (depuis Raiponce en 2018 en fait) et je dois avouer que si je n'avais pas chopé la version Blu-ray de Vaiana en promo, ç'aurait été encore plus tardif. Quoi qu'il en soit, bien qu'étant plus classique qu'il n'y paraisse, j'ai pris beaucoup de plaisir devant Vaiana : le film reste quand même créatif, en plus d'être jolie. J'ai aussi plutôt apprécié le fait d'avoir affaire à des personnages davantage gris, moins manichéen que ce qu'on a pu avoir par le é. Reste que le temps ant, je suis de moins en moins sensible aux charmes de la firme aux grandes oreilles, à ce côté « film avec un cahier des charges ++ ».
Quant aux critiques concernant l'universalisme Disney, je ne suis pas vraiment d'accord avec ça. Déjà parce que les deux réal' ont voyagé dans le sud Pacifique durant un certain temps afin de s'imprégner de la culture locale, qu'ils ont essayé de laisser le plus la parole possible aux locaux, et que, qu'on aime Dwayne Johnson ou non, l'intégralité des doubleurs originaux ont un lien avec la culture polynésienne (au pire il y a le doublage en reo maori)… et puis surtout, et c'est en matant les bonus du Blu-ray que j'ai découvert ça, les polynésiens se sont quand même déjà bien assez fait occidentaliser/américaniser comme ça (tenues vestimentaires, obésité, présence du christianisme…). Disney fait partie du problème certes, mais de là à les désigner comme coupables…
Bref, un film sympathique, qui ne prend pas les gosses pour des cons, mais qui ne restera pas gravé dans ma mémoire pour autant.

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🔽 Mars 🔽

Vu le 10 mars.

Premier film intimiste du réalisateur, si Clair de femme n'a pas marqué les esprits c'est pour une bonne raison : Costa-Gavras n'étant visiblement pas fait pour mettre en scène un film de ce genre. Curieusement, le long a beau sonner comme un « film de commande » c'est pourtant le réalisateur qui a demandé les droits à Romain Gary après avoir lu le bouquin.

Ça me surprend d'écrire ça, mais j'ai trouvé que Clair de femme avait un côté Lost in Translation avant l'heure, avec ces deux personnages principaux déphasés, qui semblent vivre dans un monde complètement différent de celui des autres protagonistes (la méchanceté en plus). Preuve que Clair de femme est décevant : j'ai préféré le film de Sofia Coppola.
Un autre problème du film, selon moi, c'est qu'il n'arrive pas trop à assumer ce qu'il est. Tantôt, il présente des personnages et des situations ridicules qui feraient presque penser à du Dupieux ou du Lynch avant l'heure ; de l'autre, il remet les pieds à terre par moment, notamment avec ce dernier acte qui ferait presque er le film dans un autre registre.
Ça sonne un peu « cinéma expérimental » dit comme ça, mais ça ne l'est pas tant que ça finalement, pas du tout même, on est clairement plus sur du cafouillage qu'autre chose, ou, pour le dire d'une autre manière, ça témoigne d'une certaine maladresse. Reste que le fait de voir le réalisateur buter, tenter de faire autre chose, mais en échouant, aurait tendance à rendre ce film plus intéressant qu'il ne l'est réellement.

Malgré tout, je n'ai pas é un mauvais moment devant. Je suppose que le original, ce qu'a écrit Romain Gary, a sauvé en grande partie le long (les dialogues auraient été repris directement du bouquin), et puis, ratage ou non, on a un très bon metteur en scène derrière la caméra. Reste qu'on est ici assurément devant la plus faible production du réalisateur pour le moment.

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Vu le 11 mars.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/missing_porte_disparu/critique/314803571

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Vu le 15 mars.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/hanna_k/critique/318543581

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Vu le 24 mars.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/conseil_de_famille/critique/222522533

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🔽 Avril 🔽

Vu le 2 avril.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/la_main_droite_du_diable/critique/319268478

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Vu le 5 avril.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/la_nuit_se_traine/critique/309688158

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Vu le 9 avril.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/furiosa_une_saga_mad_max/critique/132933193

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Vu le 17 avril.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/the_big_short_le_casse_du_siecle/critique/84584415

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Vu le 21 avril.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/music_box/critique/320995867

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Vu le 22 avril.

Comptant voir The Substance, je me suis dit que j'allais commencer la filmo de Coralie Fargeat par son premier long-métrage, Revenge, qui me faisait aussi de l'œil depuis un moment et… bah, je n'ai pas grand-chose à dire sur ce film. On est devant un long pas bien subtil, avec des métaphores grossières, des références des plus évidentes… mais pourtant terriblement efficace : bien mis en scène, goulûment sanglant et avec un « jeu » sur les prothèses tout aussi fascinant que rebutant. Bref, un pur kif qui prouve que la réalisatrice est loin d'être dénuée de talent et qui me donne furieusement envie de lancer le visionnage de The Substance… j'espère juste un peu plus de subtilité.
À noter que le tout est saupoudrée par une BO de Rob, toute aussi excellente que dans Le Bureau des Légendes.

PS : le violeur ressemble un peu à Hanouna lorsqu'il est en train de geindre. Sa mort ne fut donc que des plus satisfaisantes.

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Vu le 25 avril.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/conclave/critique/311829145

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Vu le 27 avril.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/la_petite_apocalypse/critique/321648582

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🔽 Mai 🔽

Vu le 1er mai.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/la_greve/critique/60095132

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Vu le 4 mai.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/mad_city/critique/322263778

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Vu le 11 mai.

Ma critique : https://senscritique.sitesdebloques.info/film/amen/critique/181401932